Conseil Sommeil : Transformez votre “ennemi” en allié
Qui ne rêve pas d’une chambre calme, fraîche, obscure… comme dans un spa ?
Mais pour beaucoup, disons-le franchement : c’est Disneyland.
Surtout quand on partage son espace avec un partenaire de chambre qui ronfle comme un moteur diesel ou respire comme Dark Vador.
Dans ces cas-là, trois options s’offrent à nous :
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Changer la condition→ pas facile de reprogrammer un ronflement
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Changer de pièce → possible… mais frustrant
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Changer sa perception
Et c’est là que tout peut basculer.
Deux suggestions simples à tester:
La technique ? Comme le propose Esther Hicks :
concentrez-vous sur un son, même imparfait, sans jugement — juste pour l’observer, sans le fuir.
👉 Ça peut être le souffle du ventilateur, le bourdonnement du frigo, le tic-tac d’une horloge, ou le bruit lointain de la circulation.
Ces sons du quotidien, souvent ignorés ou considérés comme gênants, peuvent devenir des points d’ancrage vers le calme.
Laissez ce son exister. Puis répétez doucement, à l’intérieur :
“Je l’entends… oui, je l’entends… je l’entends toujours… c’est là… je l’entends…”
Et tu verras : ton esprit va essayer de se balader.
Il va vouloir analyser, comprendre, évaluer, commenter, donner un sens ou juger ce que tu entends.
Et si, au lieu de le suivre, tu choisissais juste de revenir au son ?
Encore. Et encore. Comme un point fixe dans le flot.
Et là, doucement… le mental se met en veille.
Pourquoi ? Parce qu’aucun danger n’est perçu.
Moins de pensées, c’est aussi moins de pensées excitantes, alarmantes ou perturbantes.
Donc moins de signaux envoyés au corps pour qu’il reste en alerte.
Petit à petit, ce son devient un repère. Une ancre. Un signal de repos.
Un rythme rassurant qui murmure au corps : “Tu peux lâcher maintenant.”
Et vous savez…
avec la pratique, même le bruit le plus redoutable peut devenir un pont vers le sommeil.